J’ai récemment découvert Pinterest et dois avouer y être devenu un peu accro! Amateur de magazines de design, de mode, d’architecture et autres tendances hautement visuelles, je retrouve sur cette plate-forme matière à me rincer l’œil et me plais maintenant à entretenir mes propres tableaux en épinglant à qui mieux-mieux.

La simplicité d’utilisation de Pinterest et la diversité d’intérêts qui s’y retrouvent permettent à la fois de zyeuter, de découvrir et – dans une certaine mesure – de s’exprimer. Encore modeste, la dizaine de tableaux que j’ai créés reflètent mes penchants pour les belles choses et les activités qui élèvent l’âme!

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Depuis que je me suis penché sur LinkedIn, cette plate-forme a considérablement évolué – s’est twitterisée/facebookisée, diront certains – et quelques-unes des possibilités que j’y évoquais sont maintenant disparues. En effet, finies les listes de lecture Amazon (snif), la galerie Slideshare intégrée (re-snif), et la possibilité de consulter les publications de chacun autrement qu’en temps réel dans le fil d’actualité.

C’est probablement, d’ailleurs, la principale perte de cette évolution de LinkedIn puisqu’il n’est maintenant possible de se faire une idée sur quelqu’un qu’à partir de son profil, soit l’équivalent de son CV en ligne. La version précédente permettait également de voir ce qu’un individu avait publié et partagé, un peu à la façon de Facebook et Twitter, ce qui n’est plus possible maintenant, même pour son propre profil personnel. Dommage…

La facture visuelle du site s’est toutefois beaucoup améliorée et LinkedIn demeure la plate-forme de référence pour tout professionnel. Je recommande d’ailleurs toujours aux avocats du cabinet de se créer un profil, et de prendre quelques minutes par jour pour y partager des informations pertinentes et entretenir leur réseau de contacts. La modération demeure néanmoins une vertu essentielle et je supprime maintenant les contacts qui confondent LinkedIn avec Twitter et inondent littéralement le fil d’actualités de leur réseau.

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Il y avait également un certain temps que je n’avais pas utilisé TweetDeck pour gérer mes réseaux sociaux. Après une brève tentative avec HootSuite, je suis finalement revenu à TweetDeck, et ce malgré que l’application ne permet malheureusement plus d’y centraliser Twitter/Facebook/LinkedIn et du publier sur les trois plates-formes simultanément.

La principale beauté de la version actuelle est qu’elle ne nécessite plus d’installation sur le disque dur, d’autant plus que l’application était très lourde. La version web est pratique, rapide et flexible, en plus d’être visuellement attrayante (plus que HootSuite, à mon avis) et de permettre l’ajustement des options de filtrage et de recherche en quelques clics instinctifs. Tellement efficace et simple que j’en ai presque oublié de mettre à jour mon profil web Twitter, n’ayant plus à me rendre sur ce site que très rarement.

Bref, quelques fonctionnalités qui étaient intéressantes ont été sacrifiées, mais l’outil demeure assez utile et simple d’utilisation pour justifier d’apparaître encore dans mes onglets de démarrage.

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Parlant d’onglet de démarrage, je suis également passé récemment à Google Chrome et ne le regrette pas. L’ensemble des outils Google y sont directement intégrés, dont Gmail, et la transparence du profil permet de passer d’une fonctionnalité à l’autre sans avoir à se soucier de sa connexion : un seul set de nom d’utilisateur et de mot de passe à entrer. Il est évidemment possible d’y ajouter les applications de notre choix à partir du Chrome Web Store, dont Tweetdeck et Kindle.

Sur le plan esthétique, je trouve également Chrome plus aéré qu’Explorer, et je troque dorénavant le Safari que j’utilisais sur mon MacBook pour une version de Chrome pour Mac qui se synchronise automatiquement avec ce que j’utilise sur mon portable du bureau.

Au démarrage quotidien sur mon laptop : intranet Fasken; site web Fasken, Google Search; Google Translate; LinkedIn; TweetDeck.

Quant à Google +, pour ceux que ça intéresse encore, je me contente de vous inviter à cliquer ici, ici et ici